La crise et le vent
Art Lasovsky
Ligne de crédit : Unsplash
Les portes sans poignée fixent le temps, figent l’encens, et réduisent et détruisent les palpitations, signes d’une éruption volcanique future et fulgurante. ...Le ralenti ! Non ! les cheveux détachés et le regard farouche défient la constance, grande chimère que tous les fantaisistes abhorrent. Les battements de cœur ! les lèvres mouillées ! L’intime clepsydre, frappée par l’étrangeté que procurent certaines substances, se brise et l’eau coule et coule l’eau le long des sculptures abandonnées... Joie et douleur ! Semblables à ceux qui ont de la terre dans la bouche, les voies sans issue provoquent la maladie, noyau négatif voué à évoluer (le néant et le marteau !). Douche froide ! L’objectif est d’abolir le glorieux mensonge (ah ! voilà le mal armé ! une aile oubliée !) en... (enfin !)
Jean